<br /> Il aura fallu, la 43 ème contre-rime, pour me convaincre du grand talent de Paul-Jean Toulet. je ne peux pas m'empêcher de reproduire les cinq vers qui étayent cette réflexion.<br /> <br /> <br /> "Ainsi, ce chemin de nuage/"Le soir d'or sur les étangs bleus"/"Où pleut la fleur de frangipane"/"Ni les feux de la luciole"/D'un tigre qui miaule".<br /> <br /> <br /> Merci Monsieur Toulet, pour le bonheur de lecture que vous m'offrez en ce jour,  et merci Monsieur Aotret pour votre démarche obstinée à nous faire connaître tellement de richesses<br /> poétiques.Votre obstination tenace recueille aujourd'hui quelques fruits, avec cette empathie loin d'être gagnée, mais qui vient de s'installer à titre personnel, à l'égard d'un poète jusque là,<br /> considéré, je le répète, à titre individuel,  comme mineur. Il n'y a que les c..s qui ne changent pas d'opinion, paraî-il !<br /> <br /> <br /> Merci à vous deux pour cette révélation ponctuelle certes, mais qui change la donne.<br /> <br /> <br /> Bien à vous toutes et tous,<br /> <br /> <br /> Jakez<br /> <br /> <br />  <br />