Ce Jackoué de notre Annie est une ode à la repentance .<br />
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Ce sizain me fait penser à un condamné à mort qui se prénommait Jack. oui un certain Jacques Fesch qui avant d'être guillotiné en 1957, pour avoir assassiné un policier, avait trouvé la foi pendant son séjour en prison. <br />
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Il n'était certes pas entré dans les ordres, mais sa conversion avait été considérée comme sincère, pour ne pas dire exemplaire eu égard à des preuves révérées comme incontestables, pendant les trois années précédant son exécution.<br />
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L' Eglise Catholique vient même jusqu'à envisager une procédure de béatification, motivée par un "modèle de rédemption", fin de citation.<br />
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Ceci-dit, je reviens au poème d'Annie, avec un dernier vers en mode impératif où l'on retrouve toute sa détermination, son éloquence, qualités qui lui sont propres, quand elle estime une juste cause à défendre....... et qui auraient pu l'aiguiller vers une carrière d'avocate !<br />
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Bravo et merci mon amie ponantine.<br />
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Bisous,<br />
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Jakez
Magnifique ce Jackoué Annie!<br />
Décidemment Jack n'en fait qu'à sa tête!<br />
Crîmes pardonnés bien entendu!<br />
Belle journée ensoleillée!<br />
Marylène