6 mai 2015
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rivage de Plouescat, cliquez sur le lien
Les parfums de juillet brûlent dans le silence
D’une trop vaste et trop puissante volupté.
Vers l’azur ébloui, comme un oiseau, s’élance,
En des battements fous, mon cœur ivre d’été.
Jean de La Ville de Mirmont (1886-1914)
L’Horizon chimérique Recueil posthume 1920